L’œnotourisme français (ou tourisme viti-vinicole et œnologique) s’est enfin fortement développé ces dernières années, comme cela est déjà très démocratisé à l’étranger !
L’œnotourisme a un potentiel de croissance énorme
On peut désormais franchir les portes des châteaux et domaines, jusqu’alors réservés à une élite.
En effet, les enjeux liés à cette économie étant très importants, les domaines ont compris que cela pouvait être une source complémentaire de rémunération non négligeable.
Ce tourisme viti-vinicole permet de stimuler les ventes des vins des domaines concernés et accroître la fréquentation des régions elles-mêmes.
C’est pourquoi la filière et les pouvoirs publics ont pris la mesure de l’énorme potentiel de développement de ce marché : 10 millions de touristes dont 40% sont étrangers.
Qu’en est-il du vignoble provençal ?
Grâce à cette activité touristique, on remarque un nouvel élan pour les Côtes de Provence. Nos vignerons reconnus pour leur accueil et leur sens du partage, ont ouvert les grilles de leurs domaines, en proposant leurs crus, mais aussi une cuisine méditerranéenne et des services annexes haut-de gamme (hôtellerie, activités sportives, spa…) créant ainsi un authentique art de vivre à la Provençale !
Le Château de Berne, le pionnier en la matière.
Situé dans le Var, entre Lorgues et Flayosc, nous y avions réalisé notre séminaire en 2016 et nous avions déjà parlé de ce Relais & Châteaux, il y a 3 ans lors d’un précédent article.
Les éditions d’Autils ont réalisé un très bel ouvrage « Les Perles de l’œnotourisme », que l’on vous invite à consulter sans modération : http://www.leseditionsdautils.com/catalogue.html